mardi 23 septembre 2008

PHONEREADER pour Ebook communicant




PHONEREADER met au point un logiciel pour livre électronique communicant capable de scanner le web en matière d’actualité littéraire…


La solution est accessible sur http://www.phonereader.eu/


Forte de 8 ans d’innovation en matière d’applications logicielles sur le livre électronique, PHONEREADER annonce sa participation active à l’évolution du livre numérique en France avec de nombreuses bibliothèques existantes.


Déjà partenaire de Google Recherche de Livres depuis 2004, PHONEREADER annonce aujourd’hui la signature d’un contrat avec la Bibliothèque Nationale de France qui l’a choisi comme partenaire dans sa campagne de numérisation, permettant ainsi de rendre visibles les ouvrages numérisés par la société sur le portail GALLICA 2.Plusieurs milliers de eBooks sont accessibles depuis leur portail appelé HYPERBOOKS (livres hypertextualisés), portail d’e-distribution et laboratoire de recherche en matière d’applications innovantes de lecture en ligne.
Accompagnant la mise en vente sur le marché des Readers « nouvelle génération » WIFI (WIFI Irex, bientôt Ethernet port Sony Reader, New Kindle…) , PHONEREADER lance une solution logicielle appelée BOOKIO, dont l’objectif est d’accompagner le client dans ses achats de produits culturels lorsqu’il choisit d’être en mode connecté. Ce logiciel scanne le web sur l’actualité du livre et des produits culturels, permettant ainsi une présentation en dynamique des produits, enrichie de contenus éditoriaux pertinents, en permanence réactualisés.


PHONEREADER existe depuis 1999 et s’est spécialisé dans le développement de solutions de lecture en ligne innovantes sur le Réseau mobile 3G. La société innove en matière de réseau (ranking des liens commerciaux), de contenus (EBooks) et de logiciels (notamment à propos de lecteurs on-line et de solutions de e-paiement sur smarphones et PDA).Soutenu par l’ANVAR depuis 2000, PHONEREADER est l’initiateur de la première bibliothèque numérique sur appareil mobile en 2002, appelée Bibliothèque du monde, développée avec l’opérateur télécom ORANGE (Projet Read and Go).


PHONEREADER est également le concepteur de versions mobiles des collections Nathan Education, Hachette Encyclopédie ainsi que de nombreux portails de presse sur mobile (Le Monde, Le Figaro, Courrier International, CBS News etc.)Grâce à un partenariat avec les Impressions des Presses Universitaires de France et à la modélisation d’un processus de conversion de fichiers unique, elle met en place depuis 2001 des campagnes de numérisation de masse et de qualité.


Contact Presse
Marion LAFORGE – 06 66 35 61 20 – m.laforge@phonereader.com
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Phonereader.euJean-Philippe Pastor

dimanche 7 septembre 2008

Le mythe du XXIème siècle

Le mythe ne laisse rien au hasard.

Il développe une structure narrative et événementielle qui inhibe toute velleité d'invention et de nouveauté surnuméraire par rapport à la matrice de ses propres possibles. La tragédie, la philosophie, l'art, l'amour, les mathématiques, la politique cherchent depuis lors à échapper à cet invariant anthropologique de fond.


Or notre époque est redevenue de part en part mythique. La mondialisation est un mythe.
Par exemple, s’il existe un domaine où le terme ambiguë de mondialisation peut être employé, c’est certes celui de la production d’objets textués à faible valeur rétentionnelle (infotainment à outrance, package marketé d’émissions de télévision trans-nationales, novellas etc.) qui circulent maintenant frénétiquement tout autour de la planète.


Pour le reste, la mondialisation est un mythe. Non seulement les personnes rencontrent de plus de difficultés à se déplacer d’un pays à l’autre (le mot d’ordre est celui de l’assignation à résidence des peuples cordialement invités à rester sur leur propre territoire afin de prendre part à la « globalisation » !), mais désormais les échanges de biens de consommation manufacturés dans les pays occidentaux diminuent alors que la croissance mondiale n’a jamais été aussi forte : chez nous par exemple, 80% des échanges économiques des pays européens s’établissent avec des membres de la communauté, rendant totalement équivoque l’antienne de la menace extra-européenne (notamment asiatique) qui ne semble exister que pour cacher la concurrence acharnée que se livrent les occidentaux pour la répartition des marges entrepreunariales.


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vendredi 29 août 2008

Les sciences du langage aujourd'hui



Les sciences du langage pourraient s’ordonner aujourd’hui autour d’un objet, l’hypertexte, et d’un nouveau dessein à atteindre, l’interprétation des objets textués qui lui sont associés.


Certes, les sciences humaines ne pourront jamais atteindre le statut de sciences exactes ; mais elles peuvent cependant prétendre à une grande rigueur par une axiomatisation des règles hypertextuelles dans l’écriture.


Par exemple, sur hypertextual.net, les hypothèses de construction d’un hypertexte concernent le mode d’organisation des documents dans leur totalité inter-relationnelle. Elles répondent à la question du rapport qui lie l’algorithme de navigation à la Forme totale de la Base choisie : quel principe de calcul est retenu dans le parcours de lecture/écriture, compte tenu des choix opérés au préalable dans l’organisation globale de la Base de documents ? Selon qu’une hypothèse privilégie un mode de régularité plutôt qu’un autre dans la Base, le calcul des requêtes au moment du choix de navigation est modifié : dans la première hypothèse par exemple, c’est le changement incessant des principes logiciels et informationnels dans la Base qui prévaut ; dans la sixième, c’est au contraire la structure invariante des tables et des champs qui a l’avantage dans l’hyper-document. Toute une gradation dans les conditions réglant les rapports des éléments de l’hypertexte est ensuite établie.…


Circularité


Du point de vue de l’organisation des sciences du langage, les principales théories qui abordent aujourd’hui l’analyse des textes se rejoignent d’une part dans le traitement logistique de la signification (sémiotique étendue de l’étude traditionnelle de la phrase à l’ensemble des phrases qui construisent des textes) ; d’autre part, celui du Sens généré - linguistique générale appliquée elle-aussi au texte par-delà l’étude de la langue normativement convoquée dans cette discipline. Cependant, une définition traditionnelle du texte ne peut être que textuelle ; et donc circulaire. Seul un autre texte permet l’approche et la définition du Texte per se.
Or la génération d’un texte - en tant qu’un texte peut être considéré à partir de ce nouveau palier hypertextuel comme un objet théorétique autonome et circonscrit – pourrait être considérée à partir d’un niveau différent du texte en soi afin d’annuler cette circularité. L’objet textué consiste en effet en une série de transformations/ transpositions grammaticales et syntaxiques que l’Hypertexte peut codifier sur un tout autre registre : le sien, le seul en vérité à partir duquel maintenant le texte peut être visé.


Solution


La conception métabolique (morphosémantique) du texte qu’adopte la nouvelle axiomatique hypertextuelle permettrait ici d’échapper à l’atomisme méthodologique de la tradition grammaticale. D’abord en mettant au point le concept de parcours interprétatif dans l’hypertexte (semiosis) : le sens que l’approche linguistique de l’hypertexte promeut, ne se déduit plus d’une suite de propositions ou d’unités syntaxiques préétablies (le texte prend son sens relativement à des corrélats non linguistiques) mais résulte du parcours de formes hypertextuelles objectives. Le texte se présente alors comme un ensemble construit d’instructions de lecture et d’écriture capable d’échapper dans son interprétation à son propre programme.
Nous touchons là au domaine de la Rhétorique de l’hypertexte qui s’attache aux effets de l’écriture (art rhétorique), et non aux causes supposées des formes discursives engendrées (théories sémiotiques et linguistiques qu’on peut dire d’inspiration scientifique plutôt qu’artistique). Cette nouvelle approche rhétorique pose les axiomes qui instruisent l’organisation générale des hypertextes non-fictionnels (selon des hypothèses de construction précédemment évoquées). Elle reste de l’ordre du vraisemblable dans ce qui est exprimé comme l’avait si bien compris Aristote lorsqu’il s’agissait de juger un discours en termes de vérité ou de fausseté de ce qui est avancé. Tout dépend en effet des hypothèses et des axiomes de construction choisis.
C’est ainsi que l’objet textué en tant qu’il est interprétable et interprété comme unité matérielle et empirique sur le réseau, reste l’hypokeimenon (le sub-strat) à partir duquel les différentes interprétations se créent à la suite des parcours imaginés ; de la même façon que l’objet physique, au sens traditionnel que la méta-physique donne à ce terme, demeure le substrat des différents horizons de recherche à vocation scientifique. Son « objectivité » découle seulement du fait que l’objet textué est le support consistant de diverses descriptions que les lecteurs peuvent en faire ; ou bien, en d’autres termes, qu’en lui se rencontrent plusieurs univers de significations à partir duquel pourrait enfin intervenir le Vrai.


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Science, texte
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jeudi 21 août 2008

L'objet et le sujet aujourd'hui

Si l'objet est ce qui est jeté devant nous, si le sujet ce qui se trouve sous ce qui est jeté - alors ces polarités sont inséparables du jet, de la précipitation, à savoir de la chute qui participe à leur nature véritable et leur mouvement respectif.

La perspective phénoménologique avec laquelle habituellement nous considérons le couple sujet/objet (l'intentionnalité husserlienne qui les confond à travers les actes de l'esprit) se double d'une perspective métabologique - à savoir ce qui se maintient au-delà de la balistique, du jet par lequel les polarités en question s'entretiennent.

Ces nouvelles visions que nos techno-sciences ne cessent de modifier, de transformer voient tous les jours s'accélérer le passage du sujet-objet en un complexe moteur, un ensemble dynamique - métabologique dont tout indique déjà qu'il est sans précédent.

Envoyez vos textes à jp.pastor@phonereader.fr
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jeudi 01 juin 2006 dans Actualité, Livres, métabole, Science, temps, Voyages, Web/Tech, Weblogs

mardi 19 août 2008

Mémoire du monde par les mots


Mémoire des motsAjouter une image

Nous n'avons plus que la mémoire d'un monde qui, il y a peu, fut encore descriptible par l'écriture et que la littérature atteste, comme une mémoire fétiche.
Et encore, ce souvenir d'un monde qui se donnait par les mots et les signifiés pourrait bien n'être que le souvenir d'un mirage accrédité par les phrases d'un Texte désigné par l'imaginaire littéraire. Aujourd'hui, les mots sont d'abord des images; des signifiants imagés auxquels il faut accorder un sens improbable.


Sinon, seul le plaisir de l'image pour elle seule, prévaut.


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mercredi 13 août 2008

Composition d'un objet textué


L’attention, l’imagination, la prévision

Du point de vue du sujet, un objet textué est une composition – aujourd’hui numérique - de traces discrétisées dans un pro-gramme unifiées a posteriori par l’attention d’un lecteur.


Cette unité dynamique des traces crée un mouvement projectif d’attente qui inspecte l’ensemble des unités de sens à prévoir (pré-visions) lorsque le lecteur prête son attention à une œuvre, un contenu. Cette fonction est purement imaginaire : elle fonctionne selon une dialectique s’instaurant entre anticipations et séries inanticipables de percepts dans le déroulement du programme qui permet au lecteur de comprendre et de situer à tout instant le sens et la signification de ce qu’il déchiffre (écoute, visionnage, déchiffrage etc.). Le plaisir esthétique, l’appréciation qui naît de cette dialectique s’entretient en effet d’une marque d’imprévisibilité qui ne doit pas s’émousser : sinon l’intérêt porté à l’œuvre disparaît ; et c’est ce qui arrive le plus souvent lorsque notre attention est donnée aux objets textués à faible valeur rétentionnelle (nous en faisons rapidement le tour)…


Pour autant, l’attention reste dans la sphère délimitée de notre imagination. Une œuvre, un programme, un contenu pour être reçu doit nécessairement correspondre à un imaginaire qui rende possible le partage du sensible et de l’intelligible entre les intervenants. Même ce qui n’est pas prévu et vient surprendre le sujet pour lui procurer l’intérêt suffisant à la continuation de la lecture fait partie de l’imaginaire singulier de celui qui lit.


L’inattendu quant à lui, est à part. Il n’est pas imaginable comme tel et sort du domaine réservé de la signification. L’inattendu ne peut pas être compris. Il ne peut pas être constitutif. Au contraire de l’imprévu, tout comme de l’inanticipable qui tiennent lieu de possibles dans la sphère de ce qui peut être inspecté : il participe à la construction de l’horizon d’attente propre à l’attention portée à tout objet textué dès lors qu’il est susceptible d’un intérêt esthétique quelconque.


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